Des équipes de l’hôpital Necker-Enfants malades AP-HP, de l’Inserm, de l’institut Imagine, du CNRS et de l’Université Paris Cité ont montré comment certaines souches de Staphylocoque doré présentes sur la peau d’enfants atteints d’une maladie génétique rare influencent la gravité de leurs symptômes.